1. Jean a commencé à répandre l’évangile du royaume des cieux sept ans avant le baptême de Jésus. Pour les gens, le travail qu’il avait fait semblait être supérieur au travail ultérieur de Jésus, néanmoins, il n’était encore qu’un prophète. Il travaillait et parlait, non pas dans le temple, mais dans les villes et les villages en dehors du temple. Il faisait cela, bien sûr, au sein de la nation juive, en particulier parmi les pauvres. Jean entrait rarement en contact avec les gens des échelons supérieurs de la société. Il répandait l’évangile parmi les gens ordinaires de la Judée afin de préparer les bonnes personnes pour le Seigneur Jésus et de préparer des endroits appropriés où Jésus pourrait faire Son travail. Avec un prophète comme Jean pour préparer la voie, le Seigneur Jésus a pu commencer Son travail de crucifixion aussitôt qu’Il est arrivé. Quand Dieu est devenu chair pour faire Son travail, Il n’a pas eu à choisir des gens et n’a pas eu besoin de chercher personnellement des gens ou un endroit où travailler. Il n’a pas eu à faire ce travail quand Il est venu ; la bonne personne avait déjà préparé la voie pour Lui avant Son arrivée. […] Jean travailla pendant sept ans, c’est-à-dire qu’il répandit l’évangile pendant sept ans. Au cours de son travail, Jean ne fit pas beaucoup de miracles, car son travail était de préparer la voie, c’était le travail de préparation. Tout autre travail, le travail que Jésus allait faire, était sans rapport avec lui ; il ne demandait à l’homme que de confesser ses péchés et de se repentir ; il baptisait les gens afin qu’ils puissent être sauvés. Bien qu’il fît un nouveau travail et ouvrît un chemin que l’homme n’avait jamais connu auparavant, il ne fit que préparer la voie pour Jésus. Il était tout simplement un prophète qui faisait le travail de préparation et il était incapable de faire le travail de Jésus. Bien que Jésus ne fût pas le premier à parler de l’évangile du royaume des cieux, et bien qu’Il continuât dans le sens que Jean avait déjà ouvert, personne d’autre quand même ne pouvait faire Son travail qui était supérieur au travail de Jean. Jésus ne pouvait pas préparer Sa propre voie ; Son travail a été réalisé directement au nom de Dieu. Et donc, peu importe le nombre d’années que Jean travailla, il fut toujours un prophète et toujours celui qui prépara la voie. Les trois années de travail accompli par Jésus ont dépassé les sept années de travail de Jean, car la substance de Son œuvre n’était pas la même.
« La vision de l’œuvre de Dieu (1) », La Parole apparaît dans la chair
2. À l’époque, une partie de l’œuvre de Jésus était conforme à l’Ancien Testament, ainsi qu’aux lois de Moïse et aux paroles de l’Éternel pendant l’ère de la Loi. Jésus a utilisé tout cela pour faire une partie de Son travail. Il a prêché aux gens et leur a enseigné dans les synagogues, Il a utilisé les prédictions des prophètes de l’Ancien Testament pour réprimander les pharisiens qui Lui étaient hostiles et Il a utilisé les paroles des Écritures pour exposer leur désobéissance et donc les condamner. Car ils méprisaient ce que Jésus avait fait ; en particulier, ils détestaient qu’une grande partie de l’œuvre de Jésus ne fût pas en accord avec les lois des Écritures, et, en outre, que ce qu’Il enseignait fût supérieur à leurs propres paroles, et même supérieur à ce qui avait été annoncé par les prophètes dans les Écritures. Le travail de Jésus a seulement été en vue de la rédemption de l’homme et de la crucifixion. Ainsi, Il n’a pas eu besoin de dire plus de paroles pour conquérir l’homme. Une grande partie de ce qu’Il a enseigné à l’homme venait des paroles des Écritures, et même si Son travail n’a pas dépassé les Écritures, Il a quand même pu accomplir le travail de la crucifixion. Son travail n’était pas le travail de la parole ni n’avait pour but de conquérir l’humanité, mais avait le but de racheter l’humanité. Il servit simplement de sacrifice d’expiation pour l’humanité, et non pas de source de la parole pour l’humanité. Il n’a pas fait le travail des Gentils, qui était l’œuvre de la conquête de l’homme, mais a fait le travail de la crucifixion, le travail fait parmi ceux qui croyaient qu’il y avait un Dieu. Même si Son travail a été réalisé sur le fondement des Écritures et s’Il a utilisé ce que les anciens prophètes avaient dit pour condamner les pharisiens, cela a été suffisant pour achever le travail de la crucifixion. Si le travail d’aujourd’hui était encore réalisé sur le fondement des prédictions des anciens prophètes des Écritures, il serait alors impossible de vous conquérir, car l’Ancien Testament ne contient aucune trace de votre désobéissance et de vos péchés, vous le peuple chinois. Il n’existe aucune histoire de vos péchés. Et donc, si ce travail était encore fondé sur la Bible, vous ne seriez jamais conquis.
« La vision de l’œuvre de Dieu (1) », La Parole apparaît dans la chair
3. Tout ce qui est fait aujourd’hui est basé sur le présent, mais repose toujours sur le fondement de l’œuvre de l’Éternel à l’ère de la Loi et ne transgresse pas cette perspective. Faire attention à ce que vous dites et ne pas commettre l’adultère, par exemple, ces lois ne sont-elles pas de l’Ancien Testament ? Aujourd’hui, ce qui est exigé de vous n’est pas limité aux dix commandements, mais ce sont des commandements et des lois qui sont supérieurs à ceux qui précèdent. Cela ne signifie pas que ce qui est venu avant a été aboli, car chaque étape de l’œuvre de Dieu est réalisée sur le fondement de l’étape qui la précède. […] S’il vous était exigé, aujourd’hui, d’observer les commandements et de respecter les lois de l’Ancien Testament de la même manière que les Israélites, et s’il vous était même exigé de mémoriser les lois établies par l’Éternel, il n’y aurait aucune possibilité pour vous de changer. Si vous n’aviez qu’à respecter ces quelques commandements limités ou qu’à mémoriser un grand nombre de lois, votre vieille nature resterait profondément ancrée et il n’y aurait aucun moyen de la déraciner. Ainsi, vous deviendriez plus dépravés et pas un de vous ne deviendrait obéissant. Ce qui revient à dire que quelques simples commandements ou un grand nombre de lois sont incapables de vous aider à connaître les actions de l’Éternel. Vous n’êtes pas comme les Israélites : en suivant les lois et en mémorisant les commandements, ils ont pu être témoins des actes de l’Éternel et Lui consacrer leur dévouement indéfectible, mais vous êtes incapables d’atteindre cet objectif, et quelques commandements de l’Ancien Testament non seulement n’ont pas le pouvoir de vous protéger ou de vous amener à donner votre cœur, mais vous rendront négligents et vous abaisseront jusqu’à l’Hadès. Parce que Mon travail est le travail de la conquête et qu’il vise votre désobéissance et votre vieille nature, les aimables paroles de l’Éternel et de Jésus sont bien loin des paroles sévères de jugement aujourd’hui. Sans ces paroles sévères, il serait impossible de vous conquérir, « experts » que vous êtes, désobéissants depuis des milliers d’années. Les lois de l’Ancien Testament ont perdu leur pouvoir sur vous il y a longtemps et le jugement d’aujourd’hui est beaucoup plus redoutable que les vieilles lois. Le plus approprié pour vous est le jugement, et non les restrictions insignifiantes des lois, car vous n’êtes pas l’humanité du commencement, mais une humanité qui a été corrompue pendant des milliers d’années. Ce que tu dois réaliser maintenant est fonction de l’état réel de l’homme d’aujourd’hui, en fonction du calibre et de la stature réelle de l’homme d’aujourd’hui, et il n’est pas requis que tu suives la doctrine. Il en est ainsi afin que des changements puissent être réalisés dans ta vieille nature et afin que tu puisses mettre tes conceptions de côté.
« La vision de l’œuvre de Dieu (1) », La Parole apparaît dans la chair
4. À l’époque, l’œuvre de Jésus était la rédemption de toute l’humanité. Les péchés de tous ceux qui croyaient en Lui étaient pardonnés ; tant que tu croyais en Lui, Il te rachetait ; si tu croyais en Lui, tu n’étais plus un pécheur, tu avais été relevé de tes péchés. C’est cela que signifiait être sauvé et être justifié par la foi. Pourtant, il y avait un reste de rébellion et d’opposition à Dieu chez ceux qui croyaient et cela devait être retiré lentement. Le salut ne signifiait pas que l’homme avait été complètement acquis par Jésus, mais que l’homme n’appartenait plus au péché, que ses péchés avaient été pardonnés : à condition que tu croies, tu n’appartiendrais plus jamais au péché. […] Jésus n’est pas venu pour perfectionner et acquérir l’homme, mais pour accomplir une étape de travail : annoncer l’Évangile du royaume des cieux et achever l’œuvre de la crucifixion. Et donc, une fois que Jésus fut crucifié, Son travail fut achevé. Mais au stade actuel — l’œuvre de la conquête — davantage de paroles doivent être prononcées, plus de travail doit être fait et il doit y avoir de nombreux développements. De même, les mystères de l’œuvre de Jésus et de l’Éternel doivent être révélés, afin que tous les gens puissent avoir une compréhension et une clarté dans leur foi, car cela est l’œuvre des derniers jours, et les derniers jours sont la fin de l’œuvre de Dieu, le moment de la conclusion de cette œuvre. Cette étape de travail élucidera pour toi la loi de l’Éternel et la rédemption de Jésus, et a principalement en vue ta compréhension de tout le plan de gestion de Dieu pendant six mille ans, ta valorisation de toute la signification et de toute l’essence du plan de gestion pendant six mille ans, ta compréhension du but de tout le travail fait par Jésus et de toutes les paroles qu’Il a prononcées, et même ta foi aveugle en la Bible et ton adoration de la Bible. Elle te permettra de percevoir tout cela. Tu comprendras à la fois l’œuvre accomplie par Jésus et l’œuvre de Dieu aujourd’hui ; tu comprendras et verras toute la vérité, la vie, et le chemin. Dans l’étape de travail réalisée par Jésus, pourquoi Jésus est-Il parti sans conclure l’œuvre de Dieu ? Parce que l’étape de l’œuvre de Jésus n’était pas le travail de la conclusion. Quand il fut cloué sur la croix, les mots qu’Il avait prononcés prirent fin également ; après Sa crucifixion, Son œuvre par conséquent fut terminée. L’étape actuelle est différente : Son travail sera terminé seulement après que les paroles auront été prononcées jusqu’à la fin et que toute l’œuvre de Dieu aura été conclue. Au cours de l’étape du travail de Jésus, beaucoup de mots sont restés inexprimés ou ne furent pas entièrement articulés. Tout de même, Jésus ne Se souciait pas de ce qu’Il faisait ou ne disait pas, car Son ministère n’était pas un ministère de paroles, et donc, après qu’Il fut cloué sur la croix, il partit. Cette étape de travail était principalement pour la crucifixion. Elle n’est pas comme l’étape d’aujourd’hui. L’étape de travail aujourd’hui est principalement en vue de l’achèvement, de la clarification et de la conclusion de tout le travail. Si les paroles ne sont pas toutes prononcées, il n’y aura aucun moyen de conclure ce travail, car dans cette étape de travail tout le travail est achevé et accompli en utilisant des paroles. En ce temps-là, Jésus a fait beaucoup de travail qui était incompréhensible pour l’homme. Il est parti tranquillement, et aujourd’hui il y a encore beaucoup de gens qui ne comprennent pas Ses paroles, des gens qui ont une compréhension erronée, mais qui croient toujours qu’elle est bonne, qui ne savent pas qu’ils sont dans l’erreur. En fin de compte, cette étape actuelle mènera l’œuvre de Dieu à sa fin complète et à sa conclusion. Tous comprendront et connaîtront le plan de gestion de Dieu. Les conceptions de l’homme, ses intentions, sa compréhension erronée, ses conceptions du travail de l’Éternel et de Jésus, son point de vue sur les gentils et sa déviation et ses erreurs seront toutes corrigées. Et l’homme comprendra tous les bons chemins de la vie, tout le travail accompli par Dieu et toute la vérité. Quand cela se produira, cette étape de travail prendra fin.
« La vision de l’œuvre de Dieu (2) », La Parole apparaît dans la chair
5. Le travail de l’Éternel fut la création du monde, ce fut le commencement ; cette étape de travail est la fin du travail, c’est la conclusion. Au commencement, l’œuvre de Dieu a été réalisée parmi les élus d’Israël, et ce fut l’aurore d’une nouvelle époque dans le plus saint de tous les lieux. La dernière étape de travail est réalisée dans le plus impur de tous les pays, pour juger le monde et mener l’ère à sa fin. Dans la première étape, l’œuvre de Dieu a été faite dans le plus brillant de tous les lieux, et la dernière étape est réalisée dans le plus sombre de tous les lieux ; cette obscurité sera chassée, la lumière jaillira et tous les gens seront conquis. Lorsque les gens de ce plus impur et plus sombre de tous les lieux auront été conquis et que l’ensemble de la population aura reconnu qu’il y a un Dieu, qui est le vrai Dieu, et que chaque personne sera absolument convaincue, alors, commencera le travail de la conquête dans l’univers entier. Cette étape de travail est symbolique : une fois que le travail de cette ère sera terminé, le travail de six mille ans de gestion arrivera à sa fin. Une fois que ceux qui vivent dans le plus sombre de tous les lieux auront été conquis, il va sans dire que la même conquête sera réalisée partout ailleurs. En tant que tel, seulement le travail de la conquête en Chine porte un symbolisme signifiant. La Chine incarne toutes les forces des ténèbres, et le peuple de la Chine représente tous ceux qui sont de la chair, de Satan, de la chair et du sang. Ce sont les Chinois qui ont été les plus corrompus par le grand dragon rouge, qui ont la plus forte opposition à Dieu, dont l’humanité est la plus vile et impure, et donc ils sont l’archétype de toute l’humanité corrompue. […] Pourquoi ai-je toujours dit que vous êtes un complément à mon plan de gestion ? C’est dans le peuple de la Chine que la corruption, l’impureté, l’injustice, l’opposition et la rébellion se manifestent le plus complètement et sont exposées dans toutes leurs formes variées. D’une part, ils sont de mauvais calibre, et d’autre part, leur vie et leur état d’esprit sont arriérés, et leurs habitudes, leur environnement social, leur famille de naissance, tous sont pauvres et des plus arriérés. Leur statut aussi est vil. Le travail dans ce lieu est symbolique, et après que ce travail d’essai aura été effectué dans sa totalité, Son travail ultérieur ira beaucoup mieux. Si cette étape de travail peut être achevée, le succès du travail ultérieur est évident. Une fois que cette étape de travail aura été accomplie et qu’un grand succès aura été pleinement atteint, le travail de conquête dans l’univers entier sera achevé. En fait, une fois que le travail pour vous sera couronné de succès, un succès équivalent se réalisera dans l’univers entier. C’est pour cette raison que je tiens à faire de vous un modèle et un exemple. La rébellion, l’opposition, l’impureté, l’iniquité — tout cela se retrouve dans ces gens, et en eux est représentée toute la rébellion de l’humanité. C’est tout un exploit. Ainsi, ils sont présentés comme la quintessence de la conquête, et une fois qu’ils auront été conquis, ils deviendront naturellement un exemple et un modèle pour les autres.
« La vision de l’œuvre de Dieu (2) », La Parole apparaît dans la chair
6. Rien ne fut plus symbolique que la première étape réalisée en Israël : les Israélites étaient le peuple le plus saint et le moins corrompu de tous les peuples, et donc l’aube de la nouvelle époque dans ce pays a été extrêmement importante. On peut dire que les ancêtres de l’humanité sont venus d’Israël et qu’Israël a été le lieu d’origine de l’œuvre de Dieu. Au commencement, ces gens étaient les plus saints, et ils adoraient tous l’Éternel, et l’œuvre de Dieu en eux produisait les meilleurs résultats. […] Les gens du peuple d’Israël étaient les moins corrompus de toute l’humanité, et au commencement, ils tournaient leurs esprits vers Dieu et Le révéraient. Ils obéissaient aux paroles de l’Éternel et servaient toujours dans le temple, et ils portaient des habits sacerdotaux ou des couronnes. Ils furent les premiers à adorer Dieu, les premiers à être l’objet de Son travail. Ces gens furent un exemple et un modèle pour l’ensemble de l’humanité. Ils furent des exemples et des modèles de sainteté et de justice. Des hommes comme Job, Abraham, Lot, ou Pierre et Timothée, ils étaient tous des Israélites, et les plus saints des exemples et des modèles. Israël a été le premier pays à adorer Dieu parmi les hommes, et plus de justes sont venus de ce pays que de partout ailleurs. Dieu les a perfectionnés afin de pouvoir mieux gouverner l’humanité dans tous les pays à l’avenir. Leurs succès et la justice de leur culte de l’Éternel ont été rapportés afin qu’ils puissent servir d’exemples et de modèles pour les peuples en dehors d’Israël au cours de l’Ère de la Grâce, et leurs actions se sont maintenues pendant plusieurs milliers d’années de travail, jusqu’à nos jours.
« La vision de l’œuvre de Dieu (2) », La Parole apparaît dans la chair
7. Le nom de Jésus a marqué le début de l’ère de la Grâce. Quand Jésus a commencé à exercer Son ministère, le Saint-Esprit a commencé à témoigner du nom de Jésus, et le nom de l’Éternel n’était plus mentionné. Le Saint-Esprit a commencé la nouvelle œuvre principalement sous le nom de Jésus. Ceux qui ont cru en Lui ont porté témoignage en faveur de Jésus-Christ et le travail qu’ils ont fait était aussi pour Jésus-Christ. La conclusion de l’ère de la Loi de l’Ancien Testament signifiait que le travail principalement accompli sous le nom de l’Éternel avait pris fin. Après cela, le nom de Dieu n’était plus l’Éternel ; Son nom était Jésus, et ensuite le Saint-Esprit commença le travail principalement sous le nom de Jésus.
« La vision de l’œuvre de Dieu (3) », La Parole apparaît dans la chair
8. Quand Jésus viendra, sera-t-Il encore appelé Jésus ? L’Éternel avait dit au peuple d’Israël qu’un Messie viendrait, mais quand Il est arrivé, on ne L’a pas appelé Messie, mais Jésus. Jésus a dit qu’Il reviendrait et qu’Il arriverait comme Il était parti. Telles furent les paroles de Jésus, mais as-tu été témoin de Son départ ? Jésus est parti sur un nuage blanc, mais reviendrait-Il vraiment personnellement parmi les hommes sur un nuage blanc ? Si c’était le cas, ne serait-Il pas encore appelé Jésus ? Quand Jésus reviendra, l’ère aura déjà changé, alors pourrait-Il encore être appelé Jésus ? Dieu est-Il seulement connu sous le nom de Jésus ? Dans une nouvelle ère, ne pourrait-Il pas être appelé par un nouveau nom ? L’image d’une personne et un nom particulier peuvent-ils représenter Dieu dans Sa totalité ? À chaque ère, Dieu fait un nouveau travail et est appelé par un nouveau nom. Comment pourrait-Il faire le même travail dans des ères différentes ? Comment pourrait-Il rester accroché à l’ancien ? Le nom de Jésus a été utilisé pour l’œuvre de la rédemption. Alors aurait-Il encore le même nom pour Son retour dans les derniers jours ? Ferait-Il encore le travail de la rédemption ? Pourquoi l’Éternel et Jésus sont-Ils un, et pourtant ont des noms différents dans différentes ères ? N’est-ce pas parce que Leur travail dans ces ères est différent ? Un seul nom pourrait-il représenter Dieu dans Sa totalité ? Donc, Dieu doit avoir un nom différent pour une ère différente, doit utiliser ce nom pour changer et représenter l’ère, car aucun nom ne peut représenter pleinement Dieu Lui-même. Et chaque nom ne peut représenter le tempérament de Dieu que pendant une certaine ère et sa seule raison est de représenter Son œuvre. Par conséquent, Dieu peut choisir le nom qui convient à Son tempérament pour représenter l’ensemble de l’ère. Peu importe que ce soit l’ère de l’Éternel ou l’ère de Jésus, chaque ère est représentée par un nom. Après l’ère de la Grâce, l’ère finale est arrivée et Jésus est déjà venu. Comment pourrait-Il toujours être appelé Jésus ? Comment pourrait-Il encore assumer la forme de Jésus parmi les hommes ? As-tu oublié que Jésus n’était que l’image d’un Nazaréen ? As-tu oublié que Jésus n’était que le Rédempteur de l’humanité ? Comment pourrait-Il prendre en charge le travail de conquérir et de perfectionner l’homme dans les derniers jours ?
« La vision de l’œuvre de Dieu (3) », La Parole apparaît dans la chair
9. Chaque fois que Dieu vient sur la terre, Il doit changer Son nom, Son sexe, Son image et Son œuvre ; Il ne répète pas Son travail, et Il est toujours nouveau, et jamais vieux. Quand Il est venu auparavant, Il était appelé Jésus ; pourrait-Il encore être appelé Jésus quand Il reviendra cette fois ? Quand Il est venu avant, Il était homme. Pourrait-Il être homme cette fois encore ? Quand Il est venu au cours de l’ère de la Grâce, Son travail fut d’être cloué sur la croix ; quand Il reviendra, rachètera-t-Il encore l’humanité du péché ? Sera-t-Il encore cloué sur une croix ? Ne serait-ce pas une répétition de Son œuvre ? Ne sais-tu pas que Dieu est toujours nouveau, et jamais vieux ?
« La vision de l’œuvre de Dieu (3) », La Parole apparaît dans la chair
10. Certains disent que Dieu est immuable. C’est exact, mais cela se réfère à l’immuabilité du tempérament et de la substance de Dieu. Ses changements de nom et de travail ne prouvent pas que Sa substance a changé ; en d’autres termes, Dieu sera toujours Dieu, et cela ne changera jamais. Si tu dis que le travail de Dieu reste toujours le même, alors comment pourrait-Il achever Son plan de gestion de six mille ans ? Tu sais simplement que Dieu est toujours immuable, mais sais-tu que Dieu est toujours nouveau, et jamais vieux ? Si l’œuvre de Dieu ne changeait jamais, alors aurait-Il pu amener l’humanité jusqu’à aujourd’hui ? Si Dieu est immuable, alors comment se fait-il qu’Il ait déjà fait le travail de deux ères ? Son travail progresse toujours, et ainsi Son tempérament est progressivement exposé à l’homme. Ce qui est exposé est Son tempérament inhérent. Au commencement, le tempérament de Dieu était caché de l’homme. Il n’exposait jamais Son tempérament à l’homme et l’homme ne Le connaissait pas, alors Il a utilisé Son travail pour exposer progressivement Son tempérament à l’homme, mais cela ne signifie pas que Son tempérament change à chaque ère. Ce n’est pas vrai que le tempérament de Dieu change constamment parce que Sa volonté change toujours. Au contraire, parce que le travail de Dieu est réalisé dans différentes ères, Son tempérament inhérent dans Sa totalité est progressivement exposé à l’homme, de sorte que l’homme peut Le connaître. Mais cela ne prouve pas du tout que Dieu à l’origine n’avait pas un tempérament particulier et que Son tempérament a progressivement changé avec le passage des ères. Une telle croyance est un non-sens. Dieu expose à l’homme Son tempérament inhérent particulier, ce qu’Il est, selon le passage des ères. Le travail d’une seule ère ne peut pas exprimer tout le tempérament de Dieu. Ainsi, les mots « Dieu est toujours nouveau, et jamais vieux » se réfèrent à Son œuvre, et les mots « Dieu est immuable » se réfèrent à ce que Dieu a et ce qu’Il est. Peu importe, tu ne peux pas ramener le travail de six mille ans à un instant ou le décrire avec de simples mots statiques. Telle est la stupidité de l’homme. Dieu n’est pas aussi simple que l’homme l’imagine et Son œuvre ne cessera pas après une seule ère. L’Éternel, par exemple, ne sera pas toujours le nom de Dieu ; Dieu fait Son travail aussi sous le nom de Jésus, ce qui démontre que le travail de Dieu est toujours en progression.
« La vision de l’œuvre de Dieu (3) », La Parole apparaît dans la chair
11. Dieu sera toujours Dieu et ne deviendra jamais Satan ; Satan sera toujours Satan et ne deviendra jamais Dieu. La sagesse de Dieu, la splendeur de Dieu, la justice de Dieu et la majesté de Dieu ne changeront jamais. Sa substance, ce qu’Il a et ce qu’Il est ne changeront jamais. Son travail, cependant, est toujours en progression, s’approfondit toujours, car Dieu est toujours nouveau, et jamais vieux. À chaque ère, Dieu assume un nouveau nom, à chaque ère, Il fait un nouveau travail et à chaque ère, Il permet aux créatures de voir Sa nouvelle volonté et Son nouveau tempérament. Si les gens ne voient pas l’expression du nouveau tempérament de Dieu dans la nouvelle ère, ne Le cloueront-ils pas sur la croix éternellement ? Et ce faisant, ne définiraient-ils pas Dieu ?
« La vision de l’œuvre de Dieu (3) », La Parole apparaît dans la chair
12. Dieu ne copie pas Son travail à chaque nouvelle ère. Puisque les derniers jours sont arrivés, Il fera le travail des derniers jours et exposera tout Son tempérament dans les derniers jours. Les derniers jours sont une ère distincte, celle dans laquelle Jésus a dit que vous auriez à souffrir des catastrophes et seriez assujettis à des tremblements de terre, des famines et des fléaux, ce qui montrera que cela est une nouvelle ère et n’est plus l’ère de la Grâce. Si Dieu était toujours immuable, comme le disent les gens, si Son tempérament était toujours compatissant et aimant, s’Il aimait l’homme comme Lui-même, et s’Il offrait le salut à tout homme et ne détestait jamais l’homme, alors pourrait-Il achever Son œuvre ? Quand Jésus est venu, Il a été cloué sur la croix, et Il S’est sacrifié pour tous les pécheurs en S’offrant Lui-même sur l’autel. Il a déjà terminé le travail de la rédemption et déjà mené l’ère de la Grâce à sa fin, donc quel sens y aurait-il à répéter le travail de cette ère dans les derniers jours ? Faire la même chose ne serait-il pas une négation de l’œuvre de Jésus ? Si Dieu ne fait pas le travail de la crucifixion quand Il vient à l’étape actuelle, mais reste quand même aimant et compatissant, pourra-t-Il mener l’ère à sa fin ? Un Dieu aimant et compatissant pourrait-Il conclure l’ère ? Dans Son œuvre finale de la conclusion de l’ère, le tempérament de Dieu est le châtiment et le jugement. Il expose tout ce qui est injuste, Il juge tous les peuples publiquement et Il perfectionne ceux qui L’aiment vraiment. Seul un tel tempérament peut mener l’ère à sa fin.
« La vision de l’œuvre de Dieu (3) », La Parole apparaît dans la chair
13. Les derniers jours sont déjà arrivés. Toutes les choses seront classées selon leur genre et seront divisées en différentes catégories selon leur nature. C’est le temps où Dieu expose la fin et la destination de l’homme. Si l’homme ne subit pas le châtiment et le jugement, alors il n’y aura aucun moyen d’exposer la désobéissance et l’injustice de l’homme. La fin de toutes choses peut être révélée seulement par le châtiment et le jugement. L’homme affiche ses vraies couleurs seulement quand il est châtié et jugé. Le mal retournera au mal, le bien retournera au bien et l’homme sera classé selon son genre. Par le châtiment et le jugement, la fin de toutes choses sera exposée, de sorte que le mal sera puni et le bien sera récompensé, et tous les gens seront alors soumis à la domination de Dieu. Pour être réalisé, tout le travail exige un châtiment et un jugement justes. Parce que la corruption de l’homme a atteint son apogée et que sa désobéissance a été trop grave, seul le tempérament juste de Dieu, qui est principalement le châtiment et le jugement et qui est exposé au cours des derniers jours, peut complètement transformer l’homme et le rendre complet. Seul ce tempérament peut exposer le mal et donc punir sévèrement tous les injustes. Par conséquent, un tempérament comme celui-là possède la signification de l’ère, et la révélation et la démonstration de Son tempérament est au service du travail de chaque nouvelle ère. Dieu n’expose pas Son tempérament arbitrairement et sans signification. Lorsque la fin de l’homme sera exposée durant les derniers jours, si Dieu accorde toujours à l’homme la compassion et l’amour intarissables, s’Il aime toujours l’homme, s’Il ne soumet pas l’homme au juste jugement, mais lui montre la tolérance, la patience et le pardon, s’Il pardonne encore à l’homme ses péchés, peu importe les péchés graves qu’il a commis, sans aucun jugement juste, alors toute la gestion de Dieu pourrait-elle arriver à sa fin ? Quand un tel tempérament pourrait-il mener l’humanité vers la bonne destination ? Prenons comme exemple un juge qui est toujours aimant, bienveillant et doux. Il aime les gens quels que soient les péchés qu’ils ont commis et Il est aimant et tolérant avec les gens quels qu’ils soient. Alors, quand pourrait-il rendre un juste verdict ? Pendant les derniers jours, seul le juste jugement peut classer l’homme et amener l’homme dans un nouveau domaine. De cette façon, toute l’ère est menée à sa fin par le juste tempérament de jugement et de châtiment de Dieu.
« La vision de l’œuvre de Dieu (3) », La Parole apparaît dans la chair
14. Le travail de Dieu dans tout Sa gestion est parfaitement clair : l’ère de la Grâce est l’ère de la Grâce et les derniers jours sont les derniers jours. Il existe des différences distinctes entre chaque ère, car dans chaque ère Dieu fait un travail qui représente cette ère. Pour la réalisation du travail des derniers jours, il faut le feu, le jugement, le châtiment, la colère et la destruction pour mener l’ère à sa fin. Les derniers jours se réfèrent à l’ère finale. Pendant l’ère finale, Dieu ne va-t-Il pas mener l’ère à sa fin ? Et l’ère peut être menée à sa fin seulement par le châtiment et le jugement. Le but de Jésus était que l’homme puisse continuer à exister, à vivre, et qu’il puisse exister d’une meilleure manière. Il a sauvé l’homme du péché pour que l’homme cesse sa constante dépravation et ne vive plus dans l’Hadès et l’enfer, et en sauvant l’homme de l’Hadès et l’enfer, Il a permis à l’homme de continuer à vivre. Maintenant, les derniers jours sont arrivés. Il anéantira l’homme, détruira l’homme complètement, ce qui signifie qu’Il inversera la désobéissance de l’homme. Ainsi, le tempérament de compassion et d’amour qu’a manifesté Dieu dans les temps passés ne pourrait pas mettre fin à l’ère et terminer le plan de gestion de six mille ans de Dieu. Chaque ère est caractérisée par une représentation distincte du tempérament de Dieu, et toutes les ères ont un travail que Dieu doit faire. Ainsi, le travail accompli par Dieu Lui-même dans chaque ère est l’expression de Son vrai tempérament, et Son nom et Son travail changent avec l’ère ; ils sont tous nouveaux.
« La vision de l’œuvre de Dieu (3) », La Parole apparaît dans la chair
15. Durant l’ère de la Loi, le travail de guider les hommes a été fait sous le nom de l’Éternel et la première étape du travail a été réalisée sur la terre. Le travail de cette étape était de construire le temple et l’autel et d’utiliser la loi pour guider le peuple d’Israël et pour travailler parmi le peuple. En guidant le peuple d’Israël, Il a établi une base pour Son travail sur terre. De cette base, Il a étendu Son travail au-delà d’Israël, c’est-à-dire qu’à partir d’Israël, Il a étendu Son travail vers l’extérieur, de sorte que les générations suivantes ont graduellement appris que l’Éternel est Dieu et que l’Éternel avait créé les cieux et la terre et toutes choses, qu’Il avait fait toutes les créatures. Il étendit Son travail à travers tout le peuple d’Israël. La terre d’Israël a été le premier lieu saint de l’œuvre de l’Éternel sur la terre, et le premier travail de Dieu sur la terre était dans toute la terre d’Israël. Cela était le travail de l’ère de la Loi. Dans le travail de l’ère de la Grâce, Jésus fut le Dieu qui sauve l’homme. La grâce, l’amour, la compassion, la tolérance, la patience, l’humilité, la prévenance et la tolérance étaient les composantes de ce qu’Il avait et de ce qu’Il était, et beaucoup de travail qu’il a fait était la rédemption de l’homme. Et quant à Son tempérament, il a été de compassion et d’amour, et parce qu’Il était compatissant et aimant, Il a dû être cloué sur la croix pour l’homme afin de montrer que Dieu aimait l’homme comme Lui-même, dans la mesure où Il S’est sacrifié Lui-même totalement. […] Au cours de l’ère de la Grâce, le nom de Dieu était Jésus, ce qui signifie que Dieu était un Dieu qui sauve l’homme et qu’Il était un Dieu compatissant et aimant. Dieu était avec l’homme. Son amour, Sa compassion et Son salut accompagnaient chaque personne. Si l’homme acceptait Son nom et Sa présence, alors l’homme gagnait la paix et la joie, recevait Sa bénédiction, Ses grandes et nombreuses grâces, et recevait Son salut. Par la crucifixion de Jésus, tous ceux qui L’ont suivi ont reçu le salut et leurs péchés furent pardonnés. Durant l’ère de la Grâce, le nom de Dieu était Jésus. En d’autres termes, le travail de l’ère de la Grâce a été fait principalement sous le nom de Jésus. Durant l’ère de la Grâce, Dieu était appelé Jésus. Il a fait un nouveau travail au-delà de l’Ancien Testament, Son travail a pris fin avec la crucifixion, et cela fut la totalité de Son travail. Par conséquent, durant l’ère de la Loi, l’Éternel était le nom de Dieu, et durant l’ère de la Grâce, le nom de Jésus représentait Dieu. Durant les derniers jours, Son nom est Dieu Tout-Puissant, Le Tout-Puissant, et Il utilise Sa puissance pour guider l’homme, conquérir l’homme, gagner l’homme, et à la fin, conclure l’ère. À chaque ère, à chaque étape de Son travail, le tempérament de Dieu est évident.
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16. Si le travail de Dieu dans chaque ère est toujours le même, et si Son nom est toujours le même, alors comment l’homme Le connaîtrait-il ? Dieu doit être appelé l’Éternel, et à part l’Éternel, celui qui est appelé par tout autre nom n’est pas Dieu. Ou bien Dieu peut seulement être appelé Jésus et Dieu ne peut pas être appelé par un autre nom que Jésus ; à part Jésus, l’Éternel n’est pas Dieu et Dieu Tout-Puissant n’est pas Dieu non plus. L’homme croit qu’il est vrai que Dieu est tout-puissant, mais Dieu est un Dieu avec l’homme ; Il doit être appelé Jésus, car Dieu est avec l’homme. Faire cela, c’est suivre la doctrine et contraindre Dieu à un cadre. Donc, le travail que Dieu fait dans chaque ère, le nom par lequel Il est appelé, l’image qu’Il assume et chaque étape de Son travail jusqu’à aujourd’hui ne suivent pas une seule règle et ne sont pas soumis à aucune contrainte. Il est l’Éternel, mais Il est aussi Jésus, ainsi que le Messie et Dieu Tout-Puissant. Son travail peut changer graduellement, et Ses changements de nom correspondent. Aucun nom particulier ne peut Le représenter pleinement, mais tous les noms par lesquels Il est appelé peuvent Le représenter, et le travail qu’Il fait dans chaque ère représente Son tempérament.
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17. Supposons qu’à l’arrivée des derniers jours, le Dieu que vous voyez soit toujours Jésus, qu’Il soit monté sur un nuage blanc, qu’Il ait encore l’apparence de Jésus et que Ses paroles soient encore les paroles de Jésus : « Vous devriez aimer votre prochain comme vous-mêmes, vous devriez jeûner et prier, aimez vos ennemis comme vous chérissez votre propre vie, soyez patients avec les autres, et soyez humbles et patients. Alors seulement vous pouvez être Mes disciples. » Si vous faites tout cela, vous pouvez entrer dans Mon royaume. N’est-ce pas le travail de l’ère de la Grâce ? N’est-ce pas la voie de parler durant l’ère de la Grâce ? Comment vous sentez-vous lorsque vous entendez ces mots ? Ne sentez-vous pas que cela est encore l’œuvre de Jésus ? N’est-ce pas une reproduction de Son œuvre ? Cela pourrait-il satisfaire l’homme ? Vous sentez peut-être que l’œuvre de Dieu ne peut que rester telle qu’elle est maintenant et ne peut pas progresser. Il n’a qu’une telle grande puissance, n’a pas de nouveau travail à faire et Il a atteint Ses limites. Il y a deux mille ans, c’était l’ère de la Grâce, et deux mille ans plus tard, Il prêche encore la voie de l’ère de la Grâce, et exige encore que les gens se repentent. Les gens diront : « Dieu, Tu as seulement un tel grand pouvoir. Je Te croyais si sage, et pourtant Tu ne connais que la tolérance et la patience, Tu sais seulement comment aimer Ton ennemi et rien de plus. » Selon l’esprit de l’homme, Dieu restera à jamais comme Il était à l’ère de la Grâce et l’homme croira toujours que Dieu est aimant et compatissant. Penses-tu que l’œuvre de Dieu foulerait toujours le même vieux terrain ? Et donc, dans cette étape de Son travail, Il ne sera pas crucifié et tout ce que vous voyez et touchez sera différent de tout ce que vous avez imaginé et entendu.
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18. Est-ce que le nom de Jésus, « Dieu avec nous », pourrait représenter le tempérament de Dieu dans sa totalité ? Pourrait-il exprimer Dieu complètement ? Si l’homme dit que Dieu peut seulement être appelé Jésus et qu’Il ne peut pas avoir un autre nom parce que Dieu ne peut pas changer Son tempérament, alors de telles paroles sont un blasphème ! Crois-tu que le nom de Jésus, Dieu avec nous, peut représenter Dieu dans Sa totalité ? Dieu peut avoir plusieurs noms, mais parmi ces nombreux noms, aucun ne peut cerner tout ce que Dieu a, aucun ne peut représenter pleinement Dieu. Et donc Dieu a plusieurs noms, mais ces nombreux noms ne peuvent pas exprimer pleinement le tempérament de Dieu, car le tempérament de Dieu est trop riche et dépasse la connaissance de l’homme. […] Un mot ou un nom particulier ne peut pas représenter Dieu dans Sa totalité. Alors Dieu peut-Il prendre un nom fixe ? Dieu est si grand et si saint, pourquoi ne Lui permets-tu pas de changer Son nom à chaque nouvelle ère ? En tant que tel, dans chaque ère où Dieu fait personnellement Son propre travail, Il utilise un nom qui convient à l’ère et qui comprend tout le travail qu’Il fait. Il utilise ce nom particulier, celui qui exprime la signification de l’ère, pour représenter Son tempérament dans cette ère. Dieu utilise le langage de l’homme pour exprimer Son propre tempérament. […] Le jour viendra où Dieu ne sera pas appelé l’Éternel, Jésus ou le Messie. Il sera simplement appelé le Créateur. À ce moment-là, tous les noms qu’Il a pris sur la terre arriveront à leur fin, car Son travail sur la terre aura pris fin. Après cela Il n’aura pas de nom. Lorsque toutes les choses se trouveront sous la domination du Créateur, pourquoi Lui donner un nom très approprié, mais incomplet ? Cherches-tu encore le nom de Dieu maintenant ? Oses-tu encore dire que Dieu est seulement appelé l’Éternel ? Oses-tu encore dire que Dieu peut seulement être appelé Jésus ? Peux-tu assumer le péché de blasphème contre Dieu ? Tu devrais savoir que Dieu n’avait pas de nom à l’origine. Il a pris un, deux ou plusieurs noms seulement parce qu’Il avait du travail à faire et qu’Il devait gérer l’humanité. Quel que soit le nom qu’on utilise, ne l’a-t-Il pas choisi Lui-même ? A-t-Il besoin de toi, une créature, pour faire ce choix ? Dieu choisit Son nom selon ce que l’homme peut comprendre et selon le langage de l’homme, mais l’homme ne peut pas complètement cerner ce nom. Tu peux seulement dire qu’il y a un Dieu dans le ciel, qu’Il est appelé Dieu, qu’Il est Dieu Lui-même avec un grand pouvoir, trop sage, trop élevé, trop merveilleux, trop mystérieux, trop puissant, et tu ne peux pas dire plus. C’est tout ce que tu sais. Alors, le nom de Jésus seul peut-il représenter Dieu Lui-même ? À l’arrivée des derniers jours, bien que ce soit encore Dieu qui fasse Son travail, Son nom doit changer, car c’est une ère différente.
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19. Quand Jésus est venu faire Son travail, ce fut sous la direction du Saint-Esprit ; Il a fait ce que le Saint-Esprit voulait et ce n’était pas conforme à l’ère de la Loi de l’Ancien Testament, ou au travail de l’Éternel. Bien que le travail que Jésus vint faire ne fût pas de respecter les lois de l’Éternel ou les commandements de l’Éternel, Leur source était la même. Le travail que Jésus a fait représentait le nom de Jésus et représentait l’ère de la Grâce ; le travail accompli par l’Éternel représentait l’Éternel et l’ère de la Loi. Leur travail était l’œuvre d’un seul Esprit en deux ères différentes. Le travail que Jésus a fait ne pouvait représenter que l’ère de la Grâce et le travail que l’Éternel a fait ne pouvait représenter que l’ère de la Loi de l’Ancien Testament. L’Éternel n’a guidé que le peuple d’Israël et d’Égypte, et toutes les nations au-delà d’Israël. Le travail de Jésus dans le Nouveau Testament, l’ère de la Grâce, était l’œuvre de Dieu sous le nom de Jésus quand Il guidait l’ère. Si tu dis que le travail de Jésus était basé sur celui de l’Éternel, qu’Il n’a pas réalisé un nouveau travail, et que tout ce qu’Il a fait était selon les paroles de l’Éternel, selon le travail de l’Éternel et les prophéties d’Ésaïe, alors Jésus n’était pas Dieu fait chair. S’Il a mené Son travail de cette façon, alors Il était un apôtre ou un travailleur de l’ère de la Loi.
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20. Si c’est comme tu le dis, alors Jésus ne pouvait pas ouvrir une ère et ne pouvait pas faire un autre travail. De la même manière, le Saint-Esprit doit principalement faire Son travail par l’Éternel, et en dehors de l’Éternel, le Saint-Esprit ne peut pas faire un nouveau travail. L’homme a tort de voir le travail de Jésus de cette façon. Si l’homme croit que le travail accompli par Jésus était en accord avec les paroles de l’Éternel et les prophéties d’Ésaïe, alors Jésus était-Il Dieu incarné ou était-Il un prophète ? Selon ce point de vue, l’ère de la Grâce n’a pas existé et Jésus n’a pas été l’incarnation de Dieu, car le travail qu’Il aurait fait ne pouvait pas représenter l’ère de la Grâce et pouvait seulement représenter l’ère de la Loi de l’Ancien Testament. Une nouvelle ère n’a pu commencer qu’au moment où Jésus est venu faire un nouveau travail, a ouvert une nouvelle ère, et a percé le travail qui avait déjà été fait en Israël. Il n’a pas effectué Son travail selon le travail accompli par l’Éternel en Israël, n’a pas respecté Ses anciennes règles, n’a suivi aucun règlement et a fait le nouveau travail qu’Il devait faire.
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21. Dieu Lui-même vient pour commencer une ère et Dieu Lui-même vient mener l’ère à sa fin. L’homme est incapable de commencer une ère et de conclure une ère. Si Jésus n’a pas mené le travail de l’Éternel à sa fin, alors cela prouve qu’Il était simplement un homme et ne représentait pas Dieu. La preuve que ce fut une nouvelle ère et que Jésus était Dieu Lui-même est que Jésus est venu et a conclu le travail de l’Éternel, faisant suite à l’œuvre de l’Éternel et en commençant Son propre travail, un nouveau travail. Ils ont fait deux étapes distinctes de travail. Une étape a été réalisée dans le temple et l’autre a été réalisée à l’extérieur du temple. Une étape était de mener la vie de l’homme conformément à la loi, et l’autre était d’offrir un sacrifice d’expiation. Ces deux étapes de travail étaient incontestablement différentes ; c’est la division de la nouvelle et de l’ancienne ère, et ce n’est pas une erreur de dire que ce sont deux ères ! L’emplacement de leur travail était différent, le contenu de leur travail était différent et l’objectif de leur travail était différent. Ainsi, elles peuvent être divisées en deux ères : le Nouveau et l’Ancien Testament, c’est-à-dire la nouvelle et l’ancienne ère. […] Bien qu’elles aient eu deux noms différents, les deux étapes de travail ont été réalisées par un seul Esprit et le travail de la seconde étape a continué celui de la première. Comme le nom était différent et le contenu du travail était différent, l’ère était différente. Lorsque l’Éternel est venu, ce fut l’ère de l’Éternel et quand Jésus est venu, ce fut l’ère de Jésus. Et donc, chaque fois que Dieu vient, Il a un nom, Il représente une ère, Il ouvre un nouveau chemin et sur chaque nouveau chemin, Il prend un nouveau nom, ce qui montre que Dieu est toujours nouveau, et jamais vieux, et que Son travail progresse toujours. L’histoire avance toujours et le travail de Dieu avance toujours. Pour que Son plan de gestion de six mille ans arrive à sa fin, il doit continuer à progresser. Chaque jour, Il doit faire un nouveau travail, chaque année, Il doit faire un nouveau travail ; Il doit ouvrir de nouvelles voies, doit commencer de nouvelles ères, commencer un travail nouveau et plus grand, et porter de nouveaux noms et faire un nouveau travail.
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22. Si Jésus vient, comme l’homme l’imagine, et est encore appelé Jésus au cours des derniers jours, et s’Il vient toujours sur un nuage blanc, descendant parmi les hommes à l’image de Jésus, n’est-ce pas une répétition de Son œuvre ? Le Saint-Esprit s’accrocherait-Il à l’ancien ? Tout ce que l’homme croit, ce sont des conceptions et tout ce que l’homme accepte est selon le sens littéral et selon son imagination ; ce n’est pas en accord avec les principes de l’œuvre du Saint-Esprit et ne se conforme pas aux intentions de Dieu. Dieu ne ferait pas cela ; Dieu n’est pas si bête et si stupide, et Son œuvre n’est pas si simple que tu l’imagines. Selon tout ce que fait et imagine l’homme, Jésus arrivera sur un nuage et descendra parmi vous. Vous Le verrez, et, chevauchant un nuage, Il vous dira qu’Il est Jésus. Vous verrez aussi les marques des clous dans Ses mains et vous saurez qu’Il est Jésus. Et Il vous sauvera à nouveau et sera votre Dieu puissant. Il vous sauvera, vous donnera un nouveau nom et donnera à chaque personne une pierre blanche, après quoi vous pourrez entrer dans le royaume des cieux et être reçus dans le paradis. De telles croyances ne sont-elles pas des conceptions de l’homme ? Est-ce que Dieu travaille selon les conceptions de l’homme, ou travaille-t-Il à l’encontre des conceptions de l’homme ? Toutes les conceptions de l’homme ne viennent-elles pas de Satan ? L’homme entier n’a-t-il pas été corrompu par Satan ? Si Dieu faisait Son travail selon les conceptions de l’homme, Dieu ne serait-Il pas devenu Satan ? Ne serait-Il pas le même que les créatures ? Les créatures ont été tellement corrompues par Satan que l’homme est devenu l’incarnation de Satan, alors, si Dieu travaillait selon les choses de Satan, ne serait-Il pas en ligue avec Satan ? Comment l’homme peut-il comprendre l’œuvre de Dieu ? Et donc, Dieu ne travaille pas selon les conceptions de l’homme et ne travaille pas comme tu l’imagines. Certains disent que Dieu Lui-même a dit qu’Il arriverait sur un nuage. Il est vrai que Dieu l’a dit Lui-même, mais sais-tu que les mystères de Dieu sont insondables pour l’homme ? Sais-tu que les paroles de Dieu ne peuvent pas être expliquées par l’homme ? Es-tu si certain que tu as été éclairé et illuminé par le Saint-Esprit ? Est-ce que le Saint-Esprit te l’a montré directement ? Ces choses sont-elles des directions du Saint-Esprit ou sont-elles tes conceptions ? Il dit : « Cela a été dit par Dieu Lui-même. » Mais nous ne pouvons pas utiliser nos propres conceptions et nos esprits pour évaluer les paroles de Dieu. En ce qui concerne les paroles d’Ésaïe, peux-tu expliquer ses paroles en toute confiance ? Oses-tu expliquer ses paroles ? Puisque tu n’oses pas expliquer les paroles d’Ésaïe, pourquoi oses-tu expliquer les paroles de Jésus ? Qui est plus exalté, Jésus ou Ésaïe ? Puisque la réponse est Jésus, pourquoi expliques-tu les paroles prononcées par Jésus ? Est-ce que Dieu te dirait à l’avance quel est Son travail ? Aucune créature ne peut le savoir, pas même les messagers dans le ciel ni le Fils de l’homme, alors comment pourrais-tu le savoir ? L’homme est trop déficient. Ce qui est crucial pour vous maintenant c’est de connaître les trois étapes de travail.
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23. De l’œuvre de l’Éternel à celle de Jésus et de l’œuvre de Jésus à celle de l’étape actuelle, ces trois étapes couvrent toute la portée de la gestion de Dieu et tout cela est le travail d’un seul Esprit. Depuis qu’Il a créé le monde, Dieu a toujours géré l’humanité. Il est le Commencement et la Fin, Il est le Premier et le Dernier et Il est celui qui commence une ère et celui qui amène l’ère à sa fin. Les trois étapes de travail, à différentes ères et dans différents endroits, sont sûrement réalisées par un seul Esprit. Tous ceux qui séparent ces trois étapes s’opposent à Dieu. Maintenant, tu dois comprendre que tout le travail de la première étape jusqu’à aujourd’hui est l’œuvre d’un seul Dieu, l’œuvre d’un seul Esprit. Cela ne fait aucun doute.
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